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Les personnes déplacées dans l’aire métropolitaine de Port-au-Prince veulent être aidées. Avez-vous entendu la voix de celles qui sont les plus vulnérables ? Si oui, comment pouvons-nous nous assurer qu’elles retourneront chez elles en toute sécurité ?

Les conflits entre les gangs armés entraînent des déplacements internes massifs et accroissent les niveaux de violences contre les femmes et les filles. On estime à près de 1.5 million, le nombre de personnes affectées par les affrontements meurtriers entre gangs rivaux dans le Département de l’Ouest (Source OCHA).

35% des personnels médicaux ne peuvent accéder aux institutions sanitaires se trouvant à proximité des zones affectées par les affrontements. L’insécurité grandissante a occasionné la rupture de stock d’intrants liée au blocage routier et isolé ces institutions.

En pleine pandémie de Covid-19, 6500 femmes en âge de procréer sont sujettes dans les prochains mois aux violences sexuelles et 4,063 personnes pourraient être infectées par des maladies sexuellement transmissibles, notamment le VIH/Sida. Les personnes déplacées crient à l’aide !

Suit la page dédiée à l’événement sur : Situation des personnes déplacées et la réponse de l’UNFPA en Haïti