On estime dans le monde à plus de 140 millions le nombre de femmes qui auraient pu être vivantes actuellement, mais qui sont déjà mortes à cause de la violence basée sur le genre. Ces situations sont susceptibles de s’aggraver dans les pays à faible revenu où l’accès aux services sociaux de base reste extrêmement précaire, comme dans le cas d'Haïti.
Le rapport sur l'état de la population mondiale 2020 met en exergue la situation de la violence, sous toutes ses formes, et rappelle comment les femmes et les filles continuent d’en être les premières à payer le prix.